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Vincent Dubois et Jean-Christian Fraiscinet forment le duo emblématique de Les Bodin's partent en vrille, récemment sorti au cinéma et déjà un véritable succès auprès du public français. En dépit du fait que cela fasse presque quatre ans depuis la sortie du dernier opus, les spectateurs ont répondu présents pour cette nouvelle aventure. Il semble que ce duo mère-fils continue de charmer. Pourquoi ?

Un humour déjanté

C’est probablement la principale raison pour laquelle les Français se précipitent au cinéma pour découvrir cette comédie familiale : l’humour. Maria Bodin, incarnée par Vincent Dubois, une vieille dame au caractère bien trempé, et son fils ne cessent de faire rire les spectateurs grâce à leur relation unique et leurs répliques hilarantes.

Un voyage lointain

Rappelez-vous, le précédent volet des Bodin's se déroulait en Thaïlande. Cette fois, direction le Maroc pour une aventure inédite. Pendant le tournage, qui a duré cinq semaines, l’équipe a dû affronter une tempête de sable dans le désert. C’est l’une des raisons pour lesquelles les spectateurs ne se lassent pas des péripéties des Bodin's : chaque nouveau film se déroule dans un décor différent. De plus, il est à noter que les acteurs ont réalisé leurs propres cascades sans avoir recours à des doublures !

Une audience fidèle

Les avant-premières organisées en région pour présenter le film ont toutes affiché complet, témoignant de l’engouement du public pour Les Bodin's. Et cette aventure ne s'arrête pas là : une pièce de théâtre et un troisième film sont déjà prévus.

Vincent Dubois incarne Maria Bodin

Crédit photo : Vincent Dubois 2021- YanRB/ Attribution - Partage dans les mêmes conditions 4.0 International

Voici un film qui promet de bousculer les codes du genre horrifique : Death of a Unicorn, attendu aux États-Unis le 28 mars 2025. Il met en scène Jenna Ortega aux côtés de Paul Rudd dans une histoire aussi improbable qu'intrigante. Ils incarnent un duo père-fille pris dans une sombre affaire après avoir accidentellement tué une licorne. Mais cette comédie noire fantastique prend une tournure inattendue lorsque la famille Leopold s’empare de la créature pour exploiter ses propriétés curatives, déclenchant ainsi la vengeance de sa compagne. Réalisé par Alex Scharfman pour A24, ce film signe le retour de l’actrice à l’horreur après quelques incursions dans d’autres genres.

Jenna Ortega sera à l’affiche de Death of a Unicorn en mars 2025

Crédit photo : Jenna Ortega-63799 (cropped)-Harald Krichel/ Attribution - Partage dans les mêmes conditions 4.0 International

Première réalisation de Jeanne Gottesdiener, Un Noël en famille se démarque des téléfilms classiques souvent bourrés de clichés qui inondent les écrans pendant les fêtes. Ce long-métrage s’intéresse au rôle des coutumes dans notre société et à leur influence sur la jeune génération. Au cœur de l’histoire, la famille Lamarre voit son réveillon chamboulé lorsque les enfants expriment leurs préoccupations sur la protection de l’environnement.

Pourquoi choisir Noël comme cadre ?

Contrairement aux récits traditionnels qui misent sur des intrigues feel-good et des romances prévisibles, ce film propose une réflexion plus profonde. Inspirée par La Vie est belle de Frank Capra, Jeanne Gottesdiener a expliqué son choix de situer l’action pendant Noël : cette période, incontournable pour de nombreuses familles, favorise les retrouvailles et la discussion. Elle souligne que Noël, avec ses rituels – sapin, repas copieux, cadeaux – peut aussi révéler des tensions, notamment entre générations, tout en offrant une occasion unique de les aborder.

Noémie Lvovsky est à l’affiche du nouveau film de Jeanne Gottesdiener

Crédit photo : Noémie Lvovsky 2014- Georges Biard/ Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 3.0 non transposé

Un sujet sérieux traité avec humour

Bien que le film s’attaque à des thèmes importants comme le poids des traditions et les conflits générationnels, la réalisatrice a choisi d’adopter un ton humoristique. Jeanne Gottesdiener confie que l’autodérision est omniprésente dans sa propre famille, grande amatrice de comédies. Cet état d’esprit a influencé la tonalité de son titre.

Un casting de choix

Ce film de Noël pas comme les autres réunit Noémie Lvovsky et Didier Bourdon dans les rôles principaux. Les deux acteurs, qui avaient déjà partagé l’affiche dans Jacky au royaume des filles de Riad Sattouf, offrent ici des performances marquantes.

Le septième art a cette magie de nous transporter, de nous faire rêver et de nous redonner le sourire quand le moral est en berne. Certains films feel-good ont ce pouvoir incroyable de nous mettre de bonne humeur, peu importe combien de fois on les a déjà vus. C'est le cas de ces pépites cinématographiques qui ont marqué leur époque et continuent d'enchanter les nouvelles générations.

Qui n'a jamais fredonné « You're the One That I Want » en pensant aux looks décalés de John Travolta et Olivia Newton-John dans Grease ? Ce film nous replonge dans l'ambiance des années 50 avec ses romances de lycée et ses mélodies entraînantes. Dans un autre style, Clueless a conquis le cœur des ados des années 90 avec son héroïne attachante et son adaptation moderne d'Emma de Jane Austen.

Pour les amateurs de chansons entraînantes et de paysages de rêve, Mamma Mia offre un cocktail détonnant. Entre les tubes d'ABBA et les plages paradisiaques grecques, difficile de ne pas se laisser emporter par cette comédie musicale ensoleillée. Vous rappelez-vous de La Boum, ce film culte qui a révélé Sophie Marceau ? Cette chronique de l'adolescence a touché bien au-delà des frontières françaises, devenant un véritable phénomène dans toute l'Europe. Sa bande originale, avec le célèbre Dreams Are My Reality, reste gravée dans les mémoires.

Catherine Deneuve est à l’affiche du film feel-good, Les Demoiselles de Rochefort

Crédit photo : Catherine Deneuve @ Les Demoiselles de Rochefort (Jacques Demy, 1967) - deepskyobject/ ATTRIBUTION 2.0 GÉNÉRIQUE

Enfin, impossible de ne pas mentionner Les Demoiselles de Rochefort, ce chef-d'œuvre de Jacques Demy qui a inspiré La La Land. Avec son duo emblématique composé de Catherine Deneuve et Françoise Dorléac, ce film continue d'inspirer les cinéastes du monde entier par sa fraîcheur et sa joie de vivre communicative.

Le dimanche 3 mars, les grands-mères étaient célébrées. L’occasion parfaite de revenir sur les meilleures comédies mettant en scène des mémés drôles, attachantes et parfois acariâtres. Souvent reléguées à des seconds rôles, elles sont pourtant les protagonistes des films ci-dessous. Découverte.

Rappelez-vous de La Boom, ce titre des années 80 qui mettait en scène Sophie Marceau dans la peau d’une adolescente. Mais celle qui a marqué les esprits, c’est indéniablement Poupette, son arrière-grand-mère. Bien plus qu’une figure familiale, elle est aussi la confidente de Vic, lui prodiguant des conseils amoureux avisés, telle une vraie meilleure amie.

En 2002, Danielle Darrieux incarnait Mamy dans 8 Femmes. Acariâtre et excentrique, cette dernière est une caricature de la vieille bourgeoisie hautaine et autoritaire, qui cache bien des secrets. Aux côtés de Catherine Deneuve et Fanny Ardant, Danielle Darrieux a conquis le cœur du public, malgré son comportement désagréable. Comment parler des mamies au cinéma sans mentionner Betty White qui s’était glissée dans la peau de Bunny dans « Encore toi ! », une dame excentrique et déjantée.

Danielle Darrieux fait partie des mamies emblématiques au cinéma

Crédit photo : DARRIEUX Danielle-24x30-2008- Studio Harcourt/ Attribution 3.0 non transposé

Pour rester dans la thématique de l’humour, tournons-nous maintenant vers Tatie Danielle, une comédie des années 90 qui présente Tsilla Chelton dans le rôle-titre, une vieille dame pleine de méchanceté. Elle est une figure emblématique du cinéma français, connue pour sa langue bien pendue et son comportement odieux envers son entourage. Concluons, avec La Première étoile, dont le succès au box-office fut indéniable. On y découvre Firmine Richard dans le rôle de Bonne Maman, une grand-mère chaleureuse et pleine de vie.