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Vous pensez tout savoir sur « 100 millions ! » ? Laissez-moi vous dévoiler les coulisses fascinantes de cette comédie sociale qui cache bien plus que ce que l'écran ne montre !

Nath Dumont : Du petit écran au grand écran

Bien que maître dans l'art de faire rire à la télévision avec Soda, Nos chers voisins ou Groland, Nath Dumont se lance ici dans l'aventure du cinéma pour la première fois. Son arrivée sur le projet tient presque du hasard ! En tombant sur une annonce rarissime de Coup de Foudre Production cherchant spécifiquement un réalisateur de comédie, il postule sans grandes attentes. Contre toute attente, sa note d'intention rédigée depuis ses vacances séduit immédiatement le producteur Manuel Munz.

Kad Merad est à l’affiche du film « 100 millions ! »

Crédit photo : Kad-Le Petit Nicolas- Avant Première-nicolas genin/Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 Générique

Un duo qui fonctionne

Ce film marque la troisième collaboration amoureuse entre Kad Merad et Michèle Laroque, après leurs prestations remarquées dans « Monsieur Papa » et « Brillantissime ». Une complicité évidente qui s'épanouit encore davantage dans cette nouvelle aventure.

De réalisateur à scénariste

Initialement engagé uniquement pour la réalisation, Nath Dumont s'est vu confier par Manuel Munz la réécriture complète du scénario avec son complice Nicola Cuvelier-Mella. Quinze versions ont été nécessaires avant d'aboutir au script définitif. Cette expérience inattendue a révélé chez Dumont un talent insoupçonné pour l'écriture, particulièrement pour les dialogues qu'il n'avait jamais eu l'occasion d'explorer auparavant.

Un casting façon cinéma des années 70

Pour capturer l'authenticité de la solidarité syndicale, l'équipe a privilégié des acteurs habitués à travailler ensemble et souvent amis dans la vie. Des talents comme Fatsah Bouyahmed, Lionel Abelanski ou Guy Lecluyse ont accepté sans hésiter des rôles secondaires, mettant leur ego de côté au service du film. Cette approche s'inspire directement du cinéma français des années 70, à la manière de Claude Sautet ou d'Yves Robert, où la véritable camaraderie entre acteurs transparaît naturellement à l'écran.